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e-ben reflexion blog

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17 mars 2006

Réflechissement!

LE PROJET ATHEO

Pourquoi l’homme à besoin de ventiler plus haut que son derche...

Un monde de dérision, j’en rêve !

« L’erreur est humaine quand on ne sait pas, elle devient inhumaine quand on sait. »

« L’homme n’a pas toujours été prêt à entendre ou à comprendre les nouveautés, il lui faut un temps d’adaptation pour accepter les réflexions trop précoces pour son savoir. Il ne prend pas le temps d’en profiter et de bien l’utiliser, et veut aussi aller trop vite dans sa course au progrès, qui le pousse à faire des erreurs souvent irréparable. »

« L’esprit de consommation est futile et la plupart du temps inutile. Nous sommes dans une société qui n’est plus dans le besoin mais qui s’en crée. »

« On ne manquera jamais de quelque chose puisqu’il restera toujours rien. »

« Libérer l’humain d’un système qui l’aliènent et le frustre ; lui montrer au combien il n’est plus libre ! »

La frustration, c’est de garder en soi ce que l’on pense et l’on désire.

21ème siècle : le siècle du catastrophisme au paroxysme du paradoxe.

Aujourd’hui on peut dire que le monde n’est plus menacé… Il est foutu !

Il y a trop de chose à dire sur notre monde actuel.

Nous nous  plaignons toujours de tout sans rien faire pour que cela change ! Ne vivez plus par procuration, changez et redonnons au mot LIBERTE ses lettres de noblesses. 

L’irrespect amène à l’antipathie, ayez de l’empathie pour la terre, respectez là !

La thèse du monde actuel ne me plait pas, je suis donc antithèsiste.

« Penser à panser les maux de la terre est devenu mon maître mot. » (Nicolas Olbaid)

Prenons un exemple très simple : « vous êtes en voiture et vous roulez à vive allure, soudain au loin vous voyez un mur, réflexe de survie, vous ralentissez, vous freinez et vous vous arrêtez ou vous contourner le mur…

Maintenant si vous croyez en votre surpuissante voiture, vous prendrez le risque de freiner au dernier moment, quitte à y laisser votre vie !

Dites-vous, dès à présent, que pour la terre, et donc pour l’homme, se dessine au loin un mur. Allez vous freiner ?

De nos jours, une prise de conscience commence à se mettre en place. Mais économie de croissance oblige, nous sommes désinformé sur les réelles causes. Et les solutions apportées sont bien trop faibles, par rapport à ce qu’il faudrait. Par moment, il ne suffit pas d’attendre de l’autre pour trouver une solution, il suffit d’y apporter sa propre envie. Rallier les peuples à une cause juste. Si vous croyez en l’utopie, c’est le moment d’essayer.

Déjà pour espérer notre salut, il faut entrer dans une économie de décroissance à long terme ou à court terme, à vous de choisir. Eh oui, malheureusement !

Ce sera dure à accepter, mais nous devons entrer dans une période restrictive à faible courbe, plutôt que quand il sera trop tard, entrer dans une période restrictive à forte courbe.

Le pic de Hubbert (s’applique à toutes formes d’énergies ou de matières existantes)

Selon la courbe de Hubbert (peak oil), quand la demande en pétrole dépassera les capacités de production. La production de pétrole devrait connaître un long déclin qui aura des conséquences désastreuses sur nos économies (plastique omniprésent dans notre consommation).

Ce sera la fin de l’ère de l’idéologie industrielle. Le pic de découverte pétrolière à eu lieu dans les années 70 (1ère crise pétrolière)

Un train lancé à grande vitesse ne s’arrête pas comme ça.

Pour exemple, je vais citer le cycle de Kondratiev, expliqué sous la métaphore de nos saisons.

L’été a débuté vers 1950, et a duré 30 ans (les années folles), autour des années 80, s’en est suivit l’automne durant une vingtaine d’année. L’hiver a dû commencer aujourd’hui pour au moins 50 ans.

Il y a des tentatives pour repousser l’hiver, cependant le repousser, risque d’amplifier les conséquences négatives de cet hiver. Les dirigeants des banques centrales, ont la même certitude d’avoir contrôlé ses effets néfastes que les économistes des années 20 avant la grande crise de 1929.

Si le pétrole était le seul souci contemporain, ce serait déjà bien.

Nous sommes également confrontés, outre les problèmes économiques à venir, à des problèmes d’éthique, de liberté bafouée, d’inhumanité et d’arnaque planétaire. Au nom d’un seul dieu : « La Consommation » ou plus prosaïquement le syndrome de l’Ogre.

N’oublions pas non plus, les catastrophes écologiques (déchets, pollution…) pouvant amener des maladies et des nouveaux virus.

Cette surconsommation excessive et exponentielle, montre à quel point l’humanité est déprimée.

Nous consommons pour combler un manque… de réflexion peut être !

Pour préserver l’être humain il faut d’abord préserver la terre.

La terre n’est pas inépuisable, mais, elle est et elle sera toujours, notre seul et unique terre d’accueil. Ne rêver pas d’espace, il y en a justement trop pour espérer un jour approcher une éxoplanète. 

Le syndrome de l’île de paques

L’île de paques est un microcosme, un petit paradis perdue au milieu du pacifique. Un peu comme la terre au milieu de l’espace. Une île vierge très verdoyante et luxuriante de poissons et d’oiseaux.

Puis, un peuple probablement venu de Polynésie, s’installa et se mit à confectionner des statues divines en l’honneur de leur dieu et en adoration du lieu. Ensuite, l’être humain étant ce qu’il est, il y eût une compétition entre tribu et une frénésie compulsive de la construction de statues. Ils ont tout utiliser des ressources de l’île, au nom de leur dieu, ce qui a eu pour effet leur destruction. Plus d’arbre pour faire des radeaux, ni pour faire de statues, plus de pêche. Impossibilité de quitter ce nouvel enfer. S’ensuivit, famine, cannibalisme.

Une lueur d’espoir scintilla malgré tout, des hommes survécurent et recommencèrent doucement une vie.

Le peuple fût finalement décimé par les colonisateurs.

Comme si l’homme était voué à l’autodestruction.

Ceci relate et condense à peu de chose près l’histoire de l’humanité.

Une terre d’accueil pour une espèce doué de conscience, éloignée pour le meilleur et pour le pire de toute autre terre viable. De toute évidence, peu importe la race, la culture ou l’endroit où on le pose, l’être humain fait des ravages.

Cependant, chacun de nous à un pouvoir immense, à travers nos choix de vies nous pouvons tous changer le monde, mais on peut changer le monde qu’en cherchant à se changer soi.

Hier, le genre humain possédait un savoir et une compréhension réduite (c‘est encore à prouver), il s’inventait un dieu, pour en combler le manque. Aujourd’hui nous avons un savoir infini, il suffit de le dispenser à nos générations futures. Nous serions condamnables de ne pas le faire.

Notre société essaye trop souvent de régler les problèmes en surface, alors qu’il faut toujours les régler à la source directement. Simplement, elle est très souvent celle que l’on n'imagine pas !

La source c’est la CONSOMMATION bien sur, voici les acteurs principaux et les dérives qui en découlent :

1ers acteurs c’est nous et notre faculté à interpréter, toutes les informations que l’on reçoit 

Eviter l’individualisme outrancier et de croire que nous sommes uniques.

Générations poubelles (blasé)

Le monde de l’enfant doit être sans substitut à la vie et à l’imagination

Avez-vous envie de vivre dans un monde sans avenir, et surtout sans joie. Le voulez-vous ??? Si vous aimez vos enfants, NON !

Ne soyons pas égoïste de notre (qualité de) vie, au détriment de nos générations futures.

Vous ! Ne le vivrez peut-être pas, mais au rythme effréné que nous avons, nos prochaines générations seront les témoins de la future agonie de la terre. L’unique solution est l’éducation ! Elle tient une place prépondérante dans la vie car le savoir est éphémère. Il n’est pas inné, il s’acquiert et il faut l’entretenir sans cesse et ce jusqu’à ce que la mort vous sépare ! 

« L’important ce n’est pas la réussite c’est la connaissance ! »

Il serait malin de faire réfléchir nos chérubins sur notre réelle place sur cette terre. Doit-on leurs inculquer que comme des xylophages, nous devons grignoter la terre avec acharnements comme nous le faisons ; ou leur apprendre que dans tout être, se cache un savant pouvant apprendre, comprendre, analyser et faire perdurer ce qui reste de plus cher à la VIE,  notre mère à tous :

La TERRE.

Pour nos générations, il est trop tard pour changer radicalement de rythme, mais pour celles futures, il en va qu’à nous de leur expliquer. Ce serait dommage qu’ils nous fassent un procès de non aide à personne en menace de danger et négligence sur la terre !

Pensez à la magie de la naissance, dans le ventre de la mère s’accomplie une remarquable quête pour la vie, c’est comme si des millions d’années d’évolution se résumer en 9 mois.

C’est la chose la plus importante que nous accomplissions, ne terminons pas notre évolution dans la déchéance. C’est la pérennité de l’espèce humaine qui est en jeu - elle risque d’être fort compromise - si l’on casse la chaîne de l’évolution en produisant des attardés mentaux et de véritables pions à deux neurones de la consommation et du petit écran.

L’inhibition de menace est dangereuse pour les réflexes de survie. Apprendre à contrôler la peur. Faire ressortir ses émotions et savoir les gérer. On apprend des erreurs.

Nos parents nous programme à avoir peur. Le fait de dire : « Ne fait pas ça, c’est dangereux, ne montes pas à l’échelle, ne vas pas dehors… » On empêche le corps de l’enfant à s’habituer aux risques et on instille la peur aux enfants pour les protéger. En grandissant, la peur subsiste à l’âge adulte. Un adulte se doit d’être responsable, un enfant deviendra adulte. Si on ne l’aide pas, il ne deviendra pas responsable.

Si l’esprit n’est pas fort, le corps ne suit pas.

Il ne suffit pas de reproduire, l’éducation du passé, il s’agit de réfléchir sur le monde sur lequel nous évoluons, pour pouvoir l’expliquer à ses enfants. Ce n’est pas vous qui devrez affronter l’adversité perverse à venir.

« Je déplore que les rues de mon jeune âge garnies d’enfants joyeux, soit remplies aujourd’hui de voitures garnies d’enfant grincheux. » (Nicolas Olbaid)

Ce qu’il faut savoir, c’est qu’aujourd’hui, il n’y a plus de place pour l’égocentrisme individualiste à caractère inhumain. Personne n’est irremplaçable et la vie perdurera toujours.

Et surtout, n’oubliez pas que le cerveau est une machine à emmagasiner les informations, et ce, dès le plus jeune âge. Par contre, ce n’est pas une machine à compréhension immédiate et à science infuse. Ne pas confondre !

Les drogues

Eviter les amalgames

Il y a plusieurs drogues qui existent (télé, ecstasy, cocaïne, cannabis)  pour sortir d’une réalité parfois insoutenable pour nos âmes sensibles. Rappelons, que nous sommes des êtres faibles qui ont dû se crée des besoins pour subsister sur la terre. En comparaison à d’autres espèces animales ; c’est à se demander, si notre origine peut-être oublié, ou masqué par l’histoire, ne serait pas extraterrestre ?! (Pour les extraterrophile). LOL

De toutes les drogues, les 2 plus insidieuses, car indétectable, sont la télévision et la voiture, c’est là où l’inactivité et l’énervement sont au paroxysme. Elles déforment également la réalité comme leurs cousines ecstasy et héroïne.

-         Le cannabis et le chanvre = solution pour l’humanité

-         L’alcool tue 40000 personnes par/an, le tabac 60000, le cannabis proche de 0

-         Le cannabis soigne, le chanvre permet de faire des textiles, cordages, de l’isolant, du carburant La liste est démesurément longue… STOP ! Aux idées reçus.

La voiture

Plus besoin de parler de sa faculté à polluer ce qui nous entoure, comme son confrère le plastique, elle tient une bonne place dans le palmarès des polluants. Notre consommation de CO2 sur la planète aujourd’hui, représente ce que produit la terre en 650.000 ans !!

Par ailleurs, elle pollue aussi nos comportements.

-         Haine

-         Mépris

-         Ignorance

-         Arrogance

-         Léthargie

La femme généralement moins orgueilleuse tend vers l’homme dans ses comportements de dominateur.   

On est prisonnier de la culture automobile, pourtant irrationnel. Nous connaissons avec fierté la formidable capacité d’adaptation que l’homme possède. Mais le temps que passe le genre humain dans les embouteillages, me sidère. On ne se rend même plus compte le temps qu’on puisse perdre pour faire quelques kilomètres, moteur en marche pendant des heures. Ce sont des heures, qui sur une vie font des années. Des années à se polluer l’existence et l’âme.

 

Définition :

Automobiliste dans un bouchon: individu (e, s) en milieu confiné, égoïste et frustré toute classe sociale confondue. La plupart du temps en profonde léthargie physique et psychique. Son activité est  basée sur l’exaspération et la haine d’autrui. Il communique avec le troupeau seulement par geste et sous l’emprise de l’énervement. Il se croit surpuissant uniquement dans son cercueil à quatre places et se sent rarement fautif.

Rien d’autres à dire, je crois que la voiture m’a définitivement blasé, tant elle est au centre des problèmes que nous rencontrons.

La télévision

« Je n’ai qu’une vie. Je ne la regarderai pas passer par procuration comme un zombie devant le poste de télévision, aux émissions d’une platitude déconcertante et dans une même optique, la bêtise à grande échelle. Je veux me sentir exister furieusement, ressentir le bonheur, la douleur, le chaud, le froid… Le monde s’offre à moi, mais je l’ignore, et reste enfermé dans cette prison dorée virtuelle. »

La TV constitue un miroir  pour  notre société. C’est un paradis artificiel, c’est à vous de changer

On n'éradique pas les drogues, on les ignore.

En dehors du fait, qu’il naisse une dépendance à la TV, ça laisse les gens totalement passif physiquement et psychiquement.

Nous sommes habitués, le soir, à allumer la TV. Nous sommes donc formatées à l’allumer, et cela devient un réflexe inné. Ca craint ! De plus, elle vous montre et vous raconte ce qu’elle veut, ne buvez plus ses paroles.

La télé, la voiture, le stress quotidien, la pub, nous empêche de réfléchir et nous rend totalement asocial, aigri, et haineux envers notre prochain.

La pub et loft story exemple de viol systématique de l’intimité.

Les médias sont dangereux, ils discréditent l’information importante en en faisant trop. Ils créent et enveniment des phobies, provoquent du chômage…La peur et le drame sont leurs fonds de commerce. Les médias sont des produits extrêmement dangereux qui sèment la psychose. Le plus grave, c’est que la formule fait mouche à tout les coups.

Le principe de précaution, basée sur du mensonge et de la désinformation, est une clause qui masque un anti-libéralisme étouffant une économie déjà frileuse.

Quel meilleur exemple que le cas grippe aviaire; à l’image, on dirait, un mauvais film de fiction de série Z américain, recherchant la présence d’Alien.

Là où s’arrête la télé commence la vie.

Eteignez-la !

Catastrophes nucléaires

I T E R – Le mini soleil.

Pourquoi reproduire un mini soleil ultra énergétique, hautement toxique et complètement anti-écologique (les superlatifs me manquent) ; dont la durée de vie dépendra de notre économie et de la sécurisation du site (moins de cent ans) ? Alors que l’on peut utiliser de manière totalement écologique et pour environ 4 milliards d’années notre dieu soleil, qui se trouve à une distance relativement inoffensive!!!

Toute matière provoque un déchet. Nous sommes à l’ère du nucléaire, alors que bons nombre de solution écologique, au coût et à la maintenance réduite, s’offre à nous (éolienne, panneau solaire, etc.…). Le projet ITER, encore floue quand à la fiabilité de sa conception vise à en quelques sortes crée un mini soleil. Un super réacteur au coût exorbitant et à la sécurisation maximum, pour éviter un méga Tchernobyl. Les déchets qui sont produits sont enfouis sous terre, certains mettent 25000 ans à se résorber. Voilà un emploi qui a de l’avenir : La sécurisation des sites de déchets.

L’humain vit avec des œillères face à sa destiné. Œillères placé sans difficulté par les pouvoirs dirigeants.

Que se passerai-t-il lors d’un séisme ?

Bonne chance !

Pouvoirs dirigeants

Jusqu'à aujourd’hui, je m’étais rarement autant demandé comment le monde de la gouverne, pouvais être aussi incompétent, irresponsable et inconscient. En revanche, notre société dirigeante, a compris que l’on n’obtenait rien par la force. La recette : «  Le Confort (primordiale) ; une bonne dose d’abrutissement médiatique et thématique ; un zeste de frustration ; une lampée de promesses ; et pour finir la touche du chef !  En saupoudrant tout ça avec de l’insécurité, et des maladies nouvelles (c’est très bon et ça se mange sans fin !) . Un peu de patience, et l’on obtient tout ce qu’on veut. Et surtout, une bonne société déprimée, parano, schizophrène, sous le règne du mensonge et de l’arnaque de masse.

Les pouvoirs dirigeants sont en train d’éventrer l’humanité, ils mettent en place des générations de peureux en dehors des réalités. Et la peur anile les sens, 

Pourquoi essaie t’on absolument de brimer et de frustrer les peuples ? A force de brimer un peuple, il implose ou il explose. Des brimades qui touchent aujourd’hui toutes les classes sociales, notre époque n’a plus aucun repère, nous sommes dépassé par les évènements, nous faisons partie d’une génération décadente.

L’adulte est crédule, il peut l’être autant qu’un enfant. La crédulité est un caractère faible de l'humain. La compréhension combat la crédulité.

Liberté, Egalité, Fraternité bafoués !

Mouton, moutonne,

J’en appel à votre bon sens, la démocratie est le règne du peuple, mais aujourd’hui, elle tend à s’éteindre. Il y a trop de lois, qui passe uniquement au parlement sans l’aval du peuple. Dictature souterraine la plus efficace, masquée sous le nom de démocratie. Les gens ne se rebellent pas contre le manque de liberté quand ils croient être libres, on croit être libre quand on  ne manque pas de nourriture et que l’on a un petit chez soi confortable. Le reste on supporte ! La liberté ne s’arrête pas, au pas de la porte.

Démagogie : On nage en pleine démagogie, et la démagogie est la pire ennemie de la démocratie.

Napoléon disait que : « Pour gouverner, rien de mieux qu’un peuple qui croit être libre. »

L’état s’en fout et n’a pas peur du peuple, il sait que la population a peur de perdre son niveau de vie.

On nous fait croire, que les priorités sont l’emploi et la sécurité. Foutaise ! C’est comme pisser dans un bocal. L’état passe, à coté des priorités, l’éducation, la culture, l’écologie, la qualité de vie, …

Toutes les choses que l’on trouvait inacceptable hier, nous les acceptons tout doucement, car on se sent totalement impuissant.

Pourtant avec les moyens que nous connaissons aujourd’hui (Internet, portable), nous pourrions faire en sorte de changer notre vision de l’avenir de l’homme.

Etat policier :

L’état installe un climat de haine et de peur.

Tout ce qui fait effusion gêne.

Eduquer un peuple, c’est comme éduquer un enfant, la répression ne marche pas! C’est l’adversité de la vie qui le pousse à aller du côté obscur.

« Dans notre monde moderne, on a toujours tendance à dire que le monde de l’adulte doit être laborieux. »

Nous vivons dans un règne ou l’argent est roi. Qui ne dit mot consent ! On ne nous laisse pas le choix d’une autre vie, qu’une vie cher. C’est le culte du fric.

Il faut savoir qu’avec tout le fric qui circule sur la planète, toute l’humanité pourrait vivre décemment, sans trop abuser de la consommation qui n’est finalement que de la poudre aux yeux pour remplir notre manque d’humanité.

De plus, depuis des décennies, il y a beaucoup d’argent qui a été versés pour les pays pauvres. Simplement une très grosse partie est détournée pour les mêmes profits (pétrole, armement).

Le progrès n’a rien changé à la pauvreté, il n’a fait qu’accentuer le fossé qui la sépare de la richesse. Certaines richesses sont pour une poignée de gens improductif qui ont les lois pour eux et qui se partagent le pouvoir. Eux, ne font que s’enrichir alors que la pauvreté croît inexorablement. La résorber n’est devenu que pure utopie.

« Si pour être riche il faut devenir comme certain riche, je préfère rester pauvre. »

« On est coincé dans la pauvreté. » (dixit un gars du Bronx)

Pauvres comme riches, on est tous, pas vraiment heureux du fruit de nos industrialisations. Tout le monde se plaint mais personne ne se l’avoue vraiment.

« J’ai toujours eu du mal à comprendre l’aspect inutile et immatériel de la technocratie en général. »

La médecine

Certaines maladies ( peau, etc.…) sont une façon dont le cerveau à pour prévenir d’un problème psycho.

Aujourd’hui tout est maladie et syndrome, c’est à la mode et surtout ça rapporte ! Alors que le rire est le meilleur des thérapeutiques, il est oublié de la sécurité sociale.

L’humanité entière est névrosée et psychotique. Il n’y a que les malades qui pensent ne pas l’être.

Stop !! A l’acharnement thérapeutiques, aux dérives pharmaceutiques.

Qu’est ce qui justifie que l’on est besoin d’autant de soin et de médicament ? Le syndrome du malade imaginaire !

On nous parle de notre santé mais on nous rend malade à force de nous éviter de vivre.

Dans certaines contrées lointaines un bon docteur est celui qui a très peu de malade.

Nous faisons de plus en plus d’enfants et nous vivons de plus en plus vieux, et ne supportons pas d’être impuissant, face à l’adversité de la sélection naturelle (épidémies, maladies…). La médecine fait des miracles ( et des dégâts !!). Nous sommes à l’heure de la Bionano-neurotechnologie et nous développons de plus en plus de virus et autres maladies. Quel paradoxe du progrès!

Un fléau à venir dont on ne parle pas car cela nous mettrait cause directement  : la surpopulation

Le pétrole (voir aussi le pic de HUBBERT)

Dites-vous que toute notre consommation tourne autour du pétrole. Qu’arriverait-il si on nous annonce qu’il n’en reste plus ? Essayez d’y réfléchir !

TOTAL FINA : 12 Mds d’Euros de bénéfice en 2006

La justice

Lente, archaïque, dépassé par les évènements et inhumaine

La justice à un gros problème d’identité.

A l’opposé, de la paperasse qu’elle accumule, elle n’en vaut pas plus de ligne.

Religion

Arrêtons de tourner autour d’un faux problème millénaire maintenant quasi résolu.

Dieu existe t-il ?

Non, oui, peut être une entité, peut importe l’image, il est dans  tous les cas en nous et il faut stopper l’abcès du problème des religions, car c’est un problème intérieur et pour le régler on a besoin uniquement de soi-même.

Dieu n’existe pas ! Mais on aura toujours besoin de le faire exister. Pourquoi pas ! Du moment que cela reste pacifique et à l’instar des associations, non lucrative.

La religion, au départ de bonne intention dans l’éducation des peuples, est devenu par la suite la première arnaque sur l’homme. Dieu a le droit de vie ou de mort et non les religions. D’autres part, l’homme doit arrêter de se cacher derrière une entité pour expier ses fautes.

Les divinités sont apparues au même moment que les questions existentielles (la conscience). Une sorte de bouc émissaire aux questions sans réponse. 

Puisqu’on en est à l’ère des sectes et religions (et synonymes) en tout genre, il serait sage mais au combien utopique de tout éradiquer et inventer : la SYMBIOLOGIE ou l’art d’être, enfin, en symbiose avec la nature. Si ce n’est pas de l’évolution, çà !

L’ignorance crée dieu, la connaissance le tue.

La Publicité

« Quand on a pas, on sait comment faire sans. Quand on a, on ne sait plus comment faire sans ! »

La pub voue un culte à l’inculture et a mit en place le virus de la fièvre acheteuse

Publicité = propagande sur la vie

-    Elle nous fait croire qu’il faut consommer pour être heureux.

-         On ne se rend même plus compte à quel point nous sommes formatés.

-         La publicité est là pour asservir le peuple non pour le servir.

-         Eduquons la pub !

- Dans les années 70, on affirmait que la pub, :  « C’est le fascisme ! » En effet la pub communique de manière unilatérale, on ne peut pas lui répondre. La pub est totalitaire, elle cherche à envahir la totalité de l’espace et la totalité du temps, pour mieux nous habitués et nos rendre esclave de la consommation.

- C’est une dictature passive et tranquille qui utilise les techniques de manipulations mentales (étudié durant la guerre froide.)

- La pub machine à casser tout un système politico-économico-social, en s’insérant partout, elle à forcément la main mise sur la société et à fortiori dans l’éducation de vos chérubins.

- La pub anti-écolo et surtout machine à casser l’individu, en lui faisant croire qu’il ne peut pas vivre sans elle, alors qu’elle a un pouvoir direct sur notre inconscient.

- La place qu’elle prend dans notre cerveau est au détriment d’une autre culture.

- La pub fait pression sur les lois protégeant la nature ou nos enfants sur le matraquage publicitaire

- La pub à mit dans la tête des gens, qu’acheter une marque et la porter donnaient de l’importance à l’individu. Il faut se rendre compte du  ridicule de la situation.

- A l’après guerre, la nourriture venait à manquer et le fait qu’il y ait une file d’attente se comprenait. Aujourd’hui, la population se rue avec acharnement dans les boutiques à la seule vue du mot : SOLDE.

- L’humain ne vaut rien, c’est seulement ce qu’il peut rapporter qui importe.

- La pub manque cruellement d’éthique et fonce dans sa quête du tout et n’importe quoi et à enfreignant toutes les règles élémentaires.

- Conditionnement de l’humain. C’est sécurisant l’automatisme, on aime aussi se complaire dans un système qui se montre soit disant rassurant, quand on le casse, on est perdu.

- Les pubs sont insidieuses, elles passent par le sens le plus imparable qui soit : La vue. On ne peut pas fermer les yeux sans cesse, n’est-il pas ?

- Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui correspond à peut de choses prés à ce qui était à l’époque perçu comme un cauchemar (livre d’anticipation) Aldous Huxley « le meilleur des mondes », Georges Orwell « 1984 ».

La pub est l’acteur principale de notre déchéance.

Conclusion

L’ultra libéralisme à compris qu’il pouvait contenir par la douceur ses populations dans une aliénation passive que les anciens pouvoirs cherchaient à imposer par la force.

Crois en notre liberté et nous te ferons croire que tu es heureux !

Tittytainment, ce terme inventé par Brzezinski, propose l’idée que dans un monde où 20% de la population malade…euh! Mondiale, suffira à faire tourner l’économie. Les nantis n’auront plus qu’à doser l’argent qui sera nécessaire au plus démunis pour qu’ils se tiennent tranquille.

Un cocktail de divertissement abrutissant et d’alimentation suffisante permettrait toujours selon lui de maintenir de bonne humeur la population frustrée de la planète.

La population n’a nul besoin que l’aliénation soit obligatoire pour s’y adonner, pourquoi contraindre brutalement les citoyens alors qu’une connaissance approfondie de leur comportement ont démontré qu’ils demandent que ça.

Nous sommes un règne animal biologiquement faible, l’adversité nous a permis de développer un élément unique à toute vie, la conscience. Elle est notre seul survie, il ne faut pas la gâcher.

L’homme s’est servi de la terre pour survivre, nous usons la terre pour nos besoins futiles, aujourd’hui irréversibles.

Nous ne pouvons plus nous voiler la face et nous cacher derrière nos pseudo dieux. Les catastrophes naturelles ne peuvent être contrôlées. Nos actes criminels, OUI !

Nous sommes des élus de la nature pour voir et croire en sa beauté, non de l’user à l’excès. Nous avons la chance d’être les seuls témoins connus de l’univers. Ne nous enlevons pas ce don pour une idéologie irréelle et insensée où 20% de la pop. Mondiale utilise 80% des ressources de la planète, et la plupart du temps pour de la poudre aux yeux.

Il pourrait suffire de seulement 2 ou 3 générations pour sauver l’abîme dans lequel se plonge la race humaine, si tout le monde petit à petit arrive à changer de comportement. Je ne dis pas que le progrès n’a apporté que de mauvaises choses, je dis simplement qu’il faut apprendre à l’utiliser efficacement.

Solution

Le vaccin à toutes les attaques acides de notre monde moderne est : éduquer à la compréhension du monde..

On a également tendance à dénigrer la paresse. Alors qu’en réalité, c’est l’une des plus grandes qualités de l’être humain (qualité écologique et intellectuelle).

Pour vivre heureux il ne faut pas se prendre la tête. C’est le Stressless style

Paresse rime avec sagesse, je suis chercheur en sagesse des peuples

Définition de la sagesse = se connaître soi et ce qui nous entoure.

Il faut laisser l’orgueil et la fierté de côté, les premières choses à se dire sont :

-         Nous sommes tous conditionnés

-         Il faut avoir la force de se reconnaître faible

-         Il faut savoir exister sans les objets

Ne faisons plus confiance aux hautes sphères, AGISSONS ! EN NE FAISANT PLUS RIEN! La solution (utopique ? Peut être), est le BOYCOTT général. On ne peut pas enfermer des milliers de personnes! C’est ça, la DEMOCRATIE. Etouffer l’économie du capitalisme totalitaire globale en place. Cela suffirait peut être à faire peur aux sociétés mondialistes. Vous savez faire des provisions quand il y a une peur de la guerre. Vous saurez en faire pour leur faire peur !

Trop de lois tuent les lois et donc les libertés, le système aujourd’hui est largement en inégalité avec d’énormes différences de valeurs. Le fameux état de droit, est en train de cloîtrer les gens chez eux, par peur de tout ; vie trop cher, insécurité, embouteillage, télévision, pas d’emploi, peur de vieillir, rendre les gens profondément cons avec des émissions sans queue ni tête. Peuple égorger par les trajets, le travail, la vie monotone. Avec tous ça, on en oublie la fraternité, on pense être fraternel en envoyant des sous à des compagnies merchandising de catastrophes, qui les détournent à leur seul profit. Libertés, égalités, bafoués.

J’imagine qu’aucune génération ne voudrait vivre et connaître une récession et une régression pour une cause sans but.

Le pacifiste est celui qui admire le monde, non pas celui qui s’admire soit même (nombrilisme)

« Un fauve en cage devient fou, ne faisons pas de la terre une cage. »

Quand la vie est moins importante que l’argent

Est-il possible de cohabiter encore

Ce n’est que pure utopie que de croire

Qu’on puisse vivre encore idéalement,

Se dire en revanche

Touche pas à ma planète

Alors la tache est plus ardu !

Je conçois qu’on soit rentré dans cette dérive mais je ne conçois pas qu’on y reste. Il vaut mieux éviter une catastrophe et se dire ça aurait pu ne pas arriver que l’affronter et se dire si on avait su.

Le pire est de se dire que ça ne peut se passer autrement, tel est l’homme, son avenir est comme ça.

Vivre pour son bien être et non pour son bonheur !

A quel point, par profit, ignorance ou je m’en foutisme totale peut-on à ce point polluer la terre

Quand les mots viennent à manquer, c’est qu’il n’y a plus rien à expliquer.

Un mot me vient pour résumer et se rapprocher au plus près de la réalité de notre devenir : AGONIE !

Ceci est un simple constat accablant d’une société en pleine régression du au stress et à l’accoutumance, à vous d’y réfléchir intrinsèquement d’une manière intra-personnellement profonde. Et de prendre le temps, de réapprendre les choses de la vie et ne plus baser son avenir sur l’argent et la croissance.

J’espère que l’envie de bonheur

Aura atteinte votre cœur.

Et se dire qu’il n’est plus l’heure

De vivre dans le malheur,

Qu’on s’entretue tous en chœur,

Ou que la terre ne meure.

UN PESSIMISTE C’EST UN OPTIMISTE QUI A COMPRIS !

Fais passer

A tous ceux que tu connais

Dans n’importe quel coin

Autour du globe !

!

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